Quand un calligraphe rencontre une potière, un nouveau travail apparaît mêlant les subtilités des deux artistes : gobelets en grés ornés de calligraphies, mais aussi écritures de terre et mise en volume de la calligraphie, tout un univers partagé présenté dans cette nouvelle exposition.

• idali.calligraphe[at]gmail.com
• Morlaix (29)
• http://www.idali-calligraphe.fr/crbst_7_m.html

Imaginative, minutieuse et aimant la simplicité, Stéphanie aime vivre à la campagne, entourée par les sons, les couleurs et les odeurs de la nature.
Contemplative elle laisse le temps au temps, et aime travaille de ses mains, voilà pourquoi la terre est venue naturellement vers elle. Elle aime particulièrement la matière brute de la terre crue, créer du relief et de la couleur.
Avec ses cloches poétiques, elle fait tinter la terre et ses couleurs, nous offrant des personnages oniriques aux sons merveilleux

• barbonistephanie[at]gmail.com
• Plessé (44)
• https://barbonistephanie.book.fr/

Maxence a découvert l’univers des poteries musicales au cours d’un stage au printemps 2012 chez Gérard Jean, potier sur la commune d’Alban (81), où il s’est familiarisé avec la fabrication des darboukas et des zarbs en terre cuite.
Il a ensuite décidé de se concentrer sur la darbouka en peau naturelle (chèvre, chevreau ou poisson), instrument recherché pour la chaleur de ses basses et la douceur de ses harmoniques, répandu au Maghreb, au Moyen-Orient, en Turquie et dans les Balkans.
Il utilise pour cela le grès de Noron (14), cuit en réduction à 1100° au bois ou au gaz. Depuis quelques mois, il travaille avec Nicolas Derolin, musicien et spécialiste de la darbouka installé sur Paris, dont voici un éclairage sur l’histoire de l’instrument.
La darbouka se tourne en 2 parties, le « pied » et le « gobelet », chacune pesant entre 4 kg et 5 kg de terre, en fonction de la taille de l’instrument. Après un court séchage, les 2 parties sont assemblées…
Après avoir résolu les problématiques du choix de l’argile, du façonnage et de la cuisson, il reste à poser la peau naturelle sur le fût, ce qui n’est pas une mince affaire. Celles-ci sont collées sur le fût avec de la colle de poisson, puis maintenues en tension jusqu’à leur séchage complet. Il a mis au point cette étape avec Jean-Yves fada, ébéniste à Concoret (56)

• augresdufeu[at]gmail.com
• Saint-Rivoal (29)